Que nous enseignent les systèmes vivants sur les modes d’organisation ?

Depuis la nuit des temps, nous recherchons des solutions innovantes pour progresser. Souvent les pionniers ont trouvé leur inspiration en regardant la nature, comme Leonard de Vinci ou Gaudi.

Qu’en est il des organisations ? Y a-t-il une limite à la croissance ? Y a-t-il d’autres modèles à inventer, à retrouver ? Que nous enseignent les systèmes vivants à ce sujet ?

On sait que les végétaux sont capables de progresser quasiment sans limite, chaque bourgeon disposant de son autonomie pour éclore et se prolonger. Ils démontrent une formidable capacité à s’adapter et à bénéficier de la diversité.

Dans les groupes d’animaux comme les hardes de chevaux, les rôles permettent au collectif de se répartir les responsabilités grâce aux différences de personnalités : l’un puise dans son impulsivité la force de défendre le groupe, un autre, curieux et indépendant, ira prospecter pour trouver les points d’eau et l’herbe grasse, et celui, toujours vigilant, identifiera une information inhabituelle et alertera du danger.

Autant de parallèles qui peuvent nous éclairer sur les notions de hiérarchie, de leadership, de coopération…

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